Le marchand de temps, Einstein et moi
L’angoisse m’étreint au saut du lit : je n’ai plus que deux jours pour soumettre ma nouvelle. Et je n’ai toujours pas produit la moindre ligne. J’ai passé les dernières semaines à laisser mûrir mes idées, lâchant la bride à mon animal créatif. Mais tel un chiot fantasque et cabochard, au …